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En raison de l’impact potentiellement angoissant des informations sur la crise du Covid-19, la rédaction précise que L’écho des Traboules est un journal satirique et humoristique. Toutes les informations ci-dessous sont donc inventées et ne sont en rien la réalité. Merci de votre compréhension et bonne lecture.
« C’est simple, je me suis dit que si je réfléchissais, je trouverais des solutions innovantes« . Émilie, une villeurbannaise de 45 ans, a brainstormé longtemps pour trouver des stratégies afin d’amasser un maximum de papier toilette.
Changeant plusieurs fois de vêtements par jour, munie de plusieurs autorisations de déplacement imprimées avec une police de caractère différente et même manuscrites par plusieurs membres de sa famille, Emilie va plusieurs fois par jour dans tous les commerces autour de chez elle. C’est au rayon papier toilette qu’elle fait razzia sur razzia, piquant même dans les caddies des mamies, laissé parfois sans surveillance quelques secondes.
Le soir, satisfaite, elle fait les plans du lendemain pour aller chercher encore plus de papier toilette. Toutefois, un élément semble ne pas la déranger, le fait qu’elle crée des ruptures d’approvisionnement dans tout le quartier. « Ça ne me dérange pas, je m’en fous des autres ! Le pire, c’est que cette histoire de papier toilette me stresse tellement que je ne vais plus aux toilettes, je suis constipée ! »
Manéo Tinquen aime sa ville de Lyon depuis qu’il y a posé ses valises, à sa naissance.
Il a vu sa ville passer du statut de vieille bourgeoise guindée à néo-hypster-twee et ne sait pas vraiment si la direction est la bonne.
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